Petit poême de Ryokan
Si les manches de ma robe
teinte à l’encre noire
étaient plus larges, j’y abriterais
le peuple de ce monde flottant
où tout est à l’envers
Si les manches de ma robe
teinte à l’encre noire
étaient plus larges, j’y abriterais
le peuple de ce monde flottant
où tout est à l’envers